L’Alliance des États du Sahel (AES) : Fruit de l’échec de la communauté internationale
DOI:
https://doi.org/10.5281/zenodo.14677115Keywords:
AES ; terrorisme ; communauté internationale ; développement ; sécurité.Abstract
Face à la persistance de la crise sécuritaire que traversent le Mali, le Burkina Faso et le Niger depuis une décennie, ces pays n’ont eu d’autres choix que de prendre leur destin en main. L’Alliance des États du Sahel (AES) a été créée par la convention de Liptako Gourma dans le but de satisfaire les besoins fondamentaux de ces nations. En effet, malgré la présence forte des forces internationales, la situation sécuritaire ne faisait qu’empirer dans ces zones. Il faut d'ailleurs souligner que l'existence même de ces trois États était déjà remise en cause.
Cette étude est dirigée par une méthode mixte issue de l’approche pragmatique. Elle repose donc à la fois sur une revue de littérature et sur des enquêtes menées auprès de la population de ces trois pays.
L’objectif de cet article est de mettre en lumière les aspirations profondes ayant poussé les autorités à créer cette organisation. Dans le même ordre d'idées, nous mettrons l'accent sur les défis auxquels ces États sont confrontés et formulerons des perspectives de réussite pour cette alliance.
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