MOBILITE URBAINE ET QUALITE DE L’AIR A BAMAKO
DOI:
https://doi.org/10.5281/zenodo.11281755Keywords:
mobilité ; urbaine ; qualité de l’air ; Bamako.Abstract
L’étude s’intitule : « Mobilité urbaine et qualité de l’air à Bamako» vise à étudier les impacts de la mobilité urbaine sur la qualité de l’air à Bamako. L’approche méthodologique a consisté à faire la recherche documentaire et à adopter la méthode mixte. L’échantillonnage aléatoire simple a été utilisé. Ainsi 150 personnes ont été choisies. Les logiciels SPSS, Excel et World ont été utilisés. Les résultats ont révélé que le moyen de déplacement le plus utilisé est la moto (30 %), suivi de Transport en Commun (TC) (23,33%) et la Voiture Personnelle (VP) (11,33%). Actuellement rare, d’un quartier à un autre les gens se déplacent à vélo ou à pieds. Sur les 150 véhicules échantillonnés, 88,07% ont 16 ans et plus ; 55,3% utilisent le gasoil. Les 95,45% des TC utilisent le gasoil tandis que plus 61,32% des VP utilisent l’essence. Les 74,7% des enquêtés ont affirmé que la qualité du carburant impacte négativement la qualité de l’air. La mobilité urbaine entraine l’émission des polluants tels que le dioxyde de soufre, le dioxyde d’azote, les PM10 et les PM2.5 qui impactent négativement la qualité de l’air à Bamako.
Downloads
Published
How to Cite
Issue
Section
License
This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.